• la défense et revalorisation de notre profession face aux pouvoirs politiques et administratifs par le biais de nos chambres professionnelles.
• la lutte contre le dumping de nos honoraires qui dévalorise notre maitrise d’œuvre et nous amène à saucisonner nos missions. Ainsi…établir un groupe de travail pour rédiger un guide unique de référence pour les commandes de marchés publiques et re-travailler un nouveau contrat-type en cohérence avec celui que les assurances nous « impose ».
• la communication auprès du grand public en vue de valoriser et de présenter les atouts de l’architecte (solutions créatives et techniques, gestionnaire indépendant de chantier, recherche d’économie et contrôle budgétaire, …).
• une assurance protection juridique (lorsque l’assurance obligatoire professionnelle n’intervient pas pour de bonnes ou mauvaises raisons) pour tous les architectes inscrits à l’Ordre et ce sans modification du montant des cotisations.
• favoriser les liens et l’écoute avec les associations professionnelles (UPA, AABW, A-B,…) et réseau sociaux (Archi-tuyau) qui œuvrent comme des poumons et baromètres de terrain.

Et le combat de toujours …

• assouplir les demandes de PU et rêgles d’incomplétudes.
• agir contre les débordements administratifs excessifs et complexes.
• assurer le respect des procédures de délivrance des autorisations de PU.
• lutter contre l’arbitraire des communes qui portent des appréciations sur l’esthétique du projet.
  L’Ordre a certes opéré ces dernières années de bonnes actions et amélioré sa communication mais cette métamorphose ne peut se mettre en pause. Notre société évolue à un rythme effréné qui doit me/nous pousser à rester proactif.